Ligue 1 : les salaires des coachs s'envolent, le PSG et l'OM coupables

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Cette saison, les entraîneurs de Ligue 1 gagnent (beaucoup) mieux leur vie. Et ce n'est pas un hasard. Trois noms suffisent à expliquer la flambée des salaires : Luis Enrique, Roberto De Zerbi et Paulo Fonseca. Ensemble, ils tirent la moyenne vers des sommets jamais atteints.

D'après les chiffres révélés par L'Équipe, le coach du PSG culmine à 1 million d'euros brut mensuels, suivi par De Zerbi à 550 000 € et Fonseca à 320 000 €.

Résultat : la moyenne des 18 entraîneurs atteint 178 000 € par mois, contre 153 000 € la saison passée. Et même sans Enrique, la moyenne reste élevée à 135 000 €.

De Zerbi, le pari XXL de l'OM

L'OM n'a pas hésité à sortir le chéquier pour reconstruire après une saison agitée. Avec son passé en Premier League à Brighton, De Zerbi a signé un contrat longue durée jusqu'en 2027, accompagné de huit adjoints. Son arrivée symbolise un nouveau cycle à Marseille.

Un investissement massif, mais assumé par Longoria et Benatia, convaincus que son aura et sa méthode stricte peuvent remettre le club sur les rails, structurer l'effectif et attirer des recrues… malgré l'absence de compétition européenne cette saison.

Les salaires des entraîneurs de Ligue 1 en 2024-2025

  1. Luis Enrique (PSG) – 1 000 000 €
  2. De Zerbi (OM) – 550 000 €
  3. Fonseca (OL) – 320 000 €
  4. Hütter (Monaco) – 250 000 €
  5. Genesio (LOSC) – 200 000 €
  6. Haise (Nice) – 200 000 €
  7. Rosenior (Strasbourg) – 150 000 €
  8. Kombouaré (Nantes) – 100 000 €
  9. Still (Lens) – 100 000 €
  10. Beye (Rennes) – 90 000 €
  11. Roy (Brest) – 70 000 €
  12. Pélissier (Auxerre) – 70 000 €
  13. Martinez Novell (Toulouse) – 70 000 €
  14. Horneland (Saint-Étienne) – 45 000 €
  15. Digard (Le Havre) – 40 000 €
  16. Dujeux (Angers) – 35 000 €
  17. Gasset (Montpellier) – 20 000 €
  18. Diawara (Reims) – 16 000 €

Des écarts qui en disent long

Avec des écarts allant du simple au soixante, ce classement reflète un déséquilibre économique criant entre les grosses cylindrées et les clubs au budget plus modeste. En Ligue 1, tout le monde ne joue pas dans la même catégorie… même sur le banc de touche.

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