PSG. Paris est « réaliste » en L1, « pas au niveau » en Ligue des champions, admet Luis Enrique

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Après la victoire face à Toulouse (3-0) lors de la rencontre en Ligue 1, Luis Enrique, l'entraîneur du PSG, a admis que son équipe n'était pas au même niveau de réalisme en Ligue des champions.

Le PSG est « réaliste » en Ligue 1 mais « loin de son niveau » en Ligue des champions, a relevé l'entraîneur du club parisien, Luis Enrique, après la victoire (3-0) contre Toulouse vendredi, à quatre jours du déplacement sur la pelouse du Bayern Munich.

« En Ligue 1, nous sommes réalistes »

« En Ligue 1, nous sommes réalistes. En Ligue des champions, on est loin de notre niveau. Notre efficacité va augmenter, très bientôt », a-t-il déclaré en conférence de presse, ajoutant qu'il était « important d'arriver plein de confiance » à un match européen.

En Ligue des champions, où le PSG n'occupe que la 25e place de la phase de ligue, « la régularité n'est pas si importante, a-t-il insisté, il faut être bon dans les moments importants, or en Ligue 1 nos statistiques sont exceptionnelles ». Vendredi face à Toulouse, les Parisiens n'ont « pas été brillants », a-t-il reconnu. « Mais trouvez-moi une équipe qui est brillante sur 60 matches. »

« C'était important ce soir mais il reste quatre finales de Ligue des champions (les quatre derniers matches de la phase ligue). Je suis content des performances de tout le monde, il y a des hauts et des bas. On verra bien », avait-il dit un peu plus tôt dans la soirée au micro du diffuseur DAZN.

Pour cette dernière sortie avant Munich, Luis Enrique avait aligné au poste de gardien Matvey Safonov, qui a enchaîné une deuxième rencontre sans encaisser de but grâce notamment à un double arrêt en fin de match. « On travaille cela à l'entraînement, pour moi c'est normal même si vu du stade cela peut paraître impressionnant », a expliqué le gardien russe au micro de DAZN.

Interrogé sur la concurrence avec l'Italien Gianluigi Donnarumma, Safonov a expliqué : « On se partage des matches entre Gigi et moi. On veut jouer, il faut se créer plus d'occasions que l'adversaire toujours. »

Peut-il bousculer la hiérarchie ? « Peut-être que oui, peut-être que non », a lâché Luis Enrique. « Peu importe la manière ou le score, c'était important de montrer qu'on peut faire le nécessaire. Cela donne de la confiance juste avant la rencontre de mardi face au Bayern », a insisté son milieu Joao Neves, auteur du premier but vendredi soir.

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