RC Lens - OGC Nice. Franck Haise évoque les raisons de son départ des Sang et Or cet été

Aujourd'hui à 09:03 AM

L'OGC Nice se déplace sur la pelouse du RC Lens ce samedi 28 septembre (17 h), pour le compte de la 6e journée de Ligue 1. Ce match marquera le retour de Franck Haise sur la pelouse du stade Bollaert, quelques mois après son départ chez les Aiglons. Pour L'Équipe, le technicien est revenu sur l'épisode qui l'a conduit a quitté le navire sang et or, à contrecœur.

Franck Haise effectue son retour à Lens ce samedi 28 septembre. Le nouvel entraîneur de l'OGC Nice se déplace, avec son équipe, sur la pelouse des Sang et Or (17 h), dans le cadre de la 6e journée de Ligue 1.

Le technicien a quitte le navire artésien à contrecœur, comme il l'a mentionné dans les colonnes de L'Équipe. Franck Haise s'entendait notamment parfaitement bien avec Arnaud Pouille, le directeur général. Mais le propriétaire Joseph Oughourlian l'a remplacé par l'un de ses hommes de confiance, Diego Lopez. « J'ai quitté Lens en raison du départ d'Arnaud (Pouille), avec qui j'entretenais une relation de confiance. Je me disais que j'allais recommencer de zéro », a notamment avoué Haise.

Haise était « attaché à Lens »

Celui qui a passé 7 ans dans le Pas-de-Calais regrette son départ, auquel il n'était pas préparé. « La seule chose compliquée est de ne pas avoir pu dire au revoir au public. J'étais attaché à Lens. Quand on joue Montpellier, ce n'est pas certain que je parte. J'avais tout préparé pour l'avant-saison. Nous ne sommes qualifiés que pour un tour préliminaire (de Ligue Conférence). C'était très frustrant. »

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Peu de temps après la saison 2023-2024, Franck Haise est déjà sollicité. « J'ai eu un premier contact la semaine du 26 mai » avec Nice, annonce-t-il. Il mentionne également avoir eu « deux autres contacts très intéressants avec deux autres clubs français dans la même semaine. Deux autres pour l'étranger, un anglais et un en Arabie saoudite ». Mais Franck Haise avait fait son choix : « rester en France ». Et cela a été possible notamment parce que Nice le « voulait vraiment ».